Mizal Touch lance un tirage limité sur bois 15 exemplaires…

La dissection des Méka-Bot nous délivre les secrets de tes robots numériques. Quel est l’élément déclencheur qui te met sur la piste d’une création ? Explique-nous ton procédé de fabrication…

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La rubrique « Dissection » (Où je montre les photos utilisées pour concevoir un MEKA BOT) est devenue inévitable. Le processus de création n’était pas flagrant.
Est-ce de la 3D ? De la Sculpture avec des pièces de récupération ? De l’Illustration Hyperréaliste ? Ce flou artistique me posait un problème. L’idée de divulguer ma technique de création ne me plaisait pas. On ne demande pas à un magicien de dévoiler les ficelles de ses tours de magie ! Mais Il a fallu que je passe par cette étape « pédagogique » de « Dissection » pour rendre mon travail accessible et permettre au public de comprendre et d’apprécier le concept des MEKA BOT.

L’intitulé même de cette technique de création artistique n’est pas encore bien défini. Photomontage, Photo Manipulation ou Création Photo Numérique ?

La démarche est similaire au Collage, elle consiste à organiser une création par la combinaison d’éléments imprimés de toute nature. De nombreux artistes du début du XXe siècle se sont adonnés à cette technique de collage comme André Breton ou Pablo Picasso. Des mouvements comme le Cubisme, le Dadaïsme, le Surréalisme utilisaient également ce procédé de montage visuel.

De nos jours l’outil informatique et les logiciels de retouche photo permettent de concevoir des « collages numériques » donnant une nouvelle dimension à cette technique de création plus que centenaire… et j’espère en être un digne héritier.

En moyenne, combien d’heure passes-tu à la fabrication d’un Méka-Bot ?

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Je travaille depuis 2004 sur ce concept de Photomontage numérique. Pour vous donnez une idée du temps passé à la réalisation, la Série MEKA BOT comprend 25 sujets et 24 sujets pour la série MASK ID. Il m’a fallu plus de 10 ans pour concevoir ces deux séries, soit une moyenne de 3 Créations par an, Les contraintes graphiques et techniques que je m’impose, permettent de rendre l’apparence graphique de chaque création la plus réaliste possible. Il faut être bien organisé pour ne pas perdre de temps dans la recherche et la préparation. En ce qui me concerne, deux étapes sont incontournables en amont, pour optimiser mon temps de création.

J’utilise mes propres photographies, cela me permet de me constituer une banque d’images classées par thèmes et sous-thèmes (Bâtiments/Industrie, Véhicules/Carénages/Optiques…) Ce qui me servira de « matières premières ».

Puis l’inévitable étape du détourage. À l’aide d’un logiciel de retouche photo, le détourage consiste à ne retenir qu’une partie d’une photo. Il suffit de séparer l’objet et le fond en délimitant les contours de l’objet. Une fois le détourage effectué, l’objet est désolidarisé de son fond et peut désormais être utilisé pour la création des MEKA BOT. À partir de ce moment, chaque photo détourée devient un élément de fabrication. Le travail de montage est beaucoup plus simple et ludique. Actuellement j’ai environ 700 photos détourées de toutes natures. Comparez cela à des pièces de jeu de construction, les frontières de l’imaginaire non plus de limites.

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La photo d’un bâtiment ou d’un carénage de moto peut être la base d’une création.

Pour le visuel Panda Meka Imperial* dans la Série MASK ID, L’architecture d’un bâtiment pris en photo au Futuroscope*, me faisait penser à de la fourrure… Mon idée de départ était d’en faire une tête d’Ours. Puis ça a dévié sur l’Ours blanc pour arriver au Panda… Cela en une journée, sans compter les heures de finition. Mon trait de caractère très perfectionniste m’inflige des heures et des heures de micro-retouches pour peaufiner le moindre détail de chaque création. J’ai une certaine crainte du travail inachevé. Il m’est difficile de me dire : « Ok super, c’est terminé !! ». Il y a encore des MEKA BOT que je retouche au fur et à mesure de l’évolution de ma vision sur ce concept. On peut dire qu’ils s’embellissent avec le temps.

La notion de Sérendipité est également omniprésente dans mon processus de création. Pour faire simple, lors d’un projet artistique (ou autre), la Sérendipité consiste à aboutir accidentellement sur un aspect inattendu de sa recherche initiale… Ce qui entraîne une nouvelle perception de la conception de ce projet … (Sinon il y a Wikipédia …  )

Après les Méka-Bot, tu es parti sur une série appelée Mask ID. Quel est le concept ?

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La Série MASK ID est une évolution dans mon concept de photomontage. J’ai souhaité montrer qu’il était possible, avec cette technique, de reproduire des personnages de fiction de la Pop Culture Américaine et Japonaise des années soixante-dix 80 comme Darth Vader, Goldorak*, Iron Man, Optimus Prime mais aussi les Daft Punk, le logo des Chicago Bulls… Le processus de création est le même que celui utilisé pour les MEKA BOT. Le plus contraignant dans cette série est de réussir à obtenir un rendu se rapprochant le plus possible du modèle original. Avec les MEKA BOT, je n’ai pas à reproduire des robots déjà existants. Il y a moins de contraintes lors de la conception. En plus de devoir représenter fidèlement le modèle, il est important de lui ajouter une valeur esthétique. La représentation est une chose mais l’appropriation est importante pour offrir une nouvelle approche graphique au public.

Cette série peut être considérée comme un exercice de style, je me contrains à choisir des personnages masqués ou casqués. La dernière création de cette série est un Triptyque* représentant les casques des Sheriffs de l’Espace (X-Or) des 3 générations du manga japonais. D’autres personnages sont prévus comme Chappie, Boba Fett, Mask Rider. Une série sur les animaux est prévue, j’ai déjà quelques créatures comme le Panda, le Koala, le Tigre, le Taureau… Il ne me reste plus qu’à l’enrichir.

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• Les Méka sont-ils mis de côté ?

Les MEKA BOT ont 15 ans. Je pourrais continuer à travailler sur cette série, mais j’estime qu’elle est assez complète est variée. Il y a maintenant un gros travail de finition sur certains robots. Comme je disais rien n’est jamais vraiment figé. Les expériences graphiques que j’ai pu effectuer, m’ont permis d’aboutir à une technique de production vraiment ludique et créative. Aujourd’hui la création des MEKA BOT est en incubation. Je n’ai plus la même excitation à travailler sur ce thème qu’à mes débuts.

J’ai d’autres projets sur lesquels je m’oriente. Par exemple, J’aimerais travailler avec des propriétaires de véhicules de luxe anciens ou modernes, voitures, motos, camions et utiliser la même technique de montage photo pour les transformer numériquement en MEKABOT… À bons entendeurs…

• Lors de notre précédente interview, tu travaillais sur un projet de T-shirt à l’effigie des Méka. Qu’en est-il advenu ?

La raison de ce projet est très personnelle. J’en ai eu marre de servir de support publicitaire pour des marques déjà bien présentent dans notre quotidien.

J’ai donc trouvé la solution de porter des vêtements avec mes propres visuels. Maintenant cela demande beaucoup de temps et d’argent pour faire la promotion et gérer cette activité de merchandising. La boutique existe en ligne  HYPERLINK « http://www.shop.spreadshirt.fr/Mizaltouch » http://www.shop.spreadshirt.fr/Mizaltouch, j’ajoute régulièrement de nouveaux articles, et mon meilleur commercial est le bouche-à-oreille.

• Ta facette artistique est très chronophage. Où trouve tu le temps pour le côté professionnel, pour la facette graphiste ?

Lorsque j’ai lu cette question pour la première fois, j’ai bloqué sur le mot chronophage. J’en connaissais vaguement la signification mais j’ai eu un doute… 😉 Donc après vérification, oui, ma démarche artistique est vraiment très gourmande en temps… et j’en manque cruellement…

Je suis un passionné. Je ressens un besoin vital de concevoir, d’expérimenter, de perfectionner, dans des domaines aussi variés que la peinture, la musique ou la photographie. Je m’épanouis dans un imaginaire récréatif que je retranscris dans mes travaux. Par contre j’ai dû faire des choix dans mon parcours personnel et professionnel, pour optimiser mon temps de création. Il m’arrive souvent d’enchaîner mes journées de travail par des nuits entières sur mes projets. Cela demande beaucoup d’investissement personnel. Cette activité artistique m’a contraint à faire des sacrifices. J’ai choisi de ne pas m’engager dans un schéma de vie traditionnel (avoir une situation professionnelle stable, fonder un foyer, avoir des enfants…) j’ai fait le choix de consacrer mon quotidien à la création, Tout mon environnement est sujet à une réflexion créative. Même lorsque je ne travaille pas, je passe des heures à réfléchir sur mes projets passés, en cours et à venir. On me reproche mes « absences » d’ailleurs… Le temps est une denrée rare, il est donc important de ne pas trop en perdre dans les futilités de la vie quotidienne.

• Aurais-tu quelques infos exclusives ? Quels sont tes projets en perspective ? Comment vois-tu l’avenir de Mizal Touch ?

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Cette fin d’année voit l’aboutissement de plusieurs projets, dont une participation à une vente aux enchères d’Art Contemporain. Deux travaux ont été retenus, Daft Meka-Flowers* et Big Bro* imprimés sur Dibond. La vente aura lieu fin octobre 2016 à Paris.

Un autre projet très important en collaboration avec Vibration Clandestine et Do You Art, pour la promotion d’œuvres d’artistes contemporains est en préparation.

Je travaille aussi sur la conception d’un Artoy représentant un personnage que j’ai créé il y a plusieurs années, le Miz. Ce serait un bel aboutissement personnel…

En parallèle des photomontages je me suis lancé dans un autre concept graphique intitulé DESTRUKT MY SHOES basé sur le thème de la chaussure de sport, appelé aussi Sneakers. Étant moi-même SneakerAddict c’est-à-dire passionné de Baskets, j’ai conçu toute une série de visuels s’inspirant des modèles de la marque Jordan Brand entre 1985 et 2016. Ce travail à fait l’objet d’une exposition fin 2015 au 8 Rive Gauche* à Paris.

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Il y a un vrai engouement sur cet accessoire de mode devenant d’année en année un objet culturel voire même de luxe à l’image d’une montre ou d’une voiture de sport. D’ailleurs certains designers de chaussures de sport sont issus du design automobile.

Des artistes Comme Pharell Williams ou Alicia Keys collaborent avec des grandes marques de sport pour commercialiser des modèles uniques et souvent en édition limitée.

C’est donc sur cet objet du quotidien que j’ai choisi de travailler en réinterprétant les modèles de marques de sport célèbres dans un style graphique simple, déstructuré mais très efficace. Une exposition sera certainement prévue durant l’année 2017. Pour en savoir plus allez sur mon compte Instagram : mizaltouch et la page Facebook Kicks My Art.

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L’avenir de la MizAl Touch je ne m’en soucie pas trop, j’aime à dire que ; « Si tu ne t’attends à rien tu ne seras jamais déçu ». Alors temps que je prendrai du plaisir à travailler sur mes concepts artistiques, la MizAl Touch continuera de s’épanouir.

Pourquoi as-tu choisi de travailler avec les supports Do You Art ?

Jusqu’à maintenant mes créations numériques étaient imprimées sur papier photo 350mg². C’était la solution la moins coûteuse mais le résultat était vraiment trop classique. Do You Art est quasiment le seul prestataire à proposer un service de production assez impressionnant pour la création numérique. La diversité des matériaux proposés (Du papier photo HD en passant par le Plexi, le bois ou le béton) permet d’obtenir des rendus graphiques très esthétiques et originaux. J’ai vite compris le potentiel créatif que proposaient les services de Do You Art… Il est important de choisir le bon support pour mettre en valeur son travail. Pour ma part j’ai fait mon choix et quelque chose me dit qu’il va y avoir de beaux projets issus de cette collaboration.

Do You art est-il, à ton avis, un bon dispositif pour les créatifs comme toi ?

Quand tu cherches à promouvoir ton travail et que le Poster papier est le seul support que tu puisses te payer, tu as très vite la sensation d’avoir gâché ton temps et un sentiment de travail inabouti t’envahit. L’équipe de Do You Art répond vraiment aux attentes des créatifs. C’est très rassurant de travailler avec des personnes ayant pour objectif de valoriser ton travail. On est loin des grosses industries te vendant 10 000 cartes de visite pour 5 €. Do You Art met à disposition des moyens de production de qualité à échelle humaine. Ce sont des Artisans de l’image nouvelle génération ;). Voilà pourquoi Do You Art est à mon avis un partenaire précieux.

Jace par “Gouzou”, un représentant de l’art urbain !

On débute cette semaine avec ce street artiste inconditionnel : JACE !


JACE ?

 

JACE c’est cet artiste réunionnais à l’origine de ce petit bonhomme jaune « gouzou »,  que vous pouvez être amené à apercevoir partout dans le monde, mais que l’on retrouve massivement sur cette île de beauté qu’est la Réunion.

Depuis plus de 25 ans, ce street artiste s’exprime à travers différentes œuvres sur les murs des villes et sur différentes affiches publicitaires détournées.

Depuis tout jeune, JACE ne cesse d’exprimer son talent en envahissant les villes de la réunion, accompagné de son acolyte de toujours, le petit bonhomme Gouzou.

Cet artiste aux allures rebelles a donc décidé de sortir des sentiers battus et d’exprimer son talent par cette petite mascotte en 1992. Depuis ils sont inséparables !

On le sait, le street art dans la rue demande d’être rapide dans l’exécution. C’est pour cela que son personnage est sans ses expressions du vissage. Malgré tout, sa gestuelle nous permet de le comprendre et de capter son expression autrement. De plus, il laisse place à une part de mystère tout en présentant un ton humoristique dans l’ensemble de ses apparitions.

Vous pouvez retrouver son travail en France dans différentes villes telles que le Havre (ça ville natale), Paris, Rouen, Biarritz et dans bien d’autres endroits.


DoYouArt pour Jace :

 

Aujourd’hui, nous sommes fiers de pouvoir vous présenter les différentes éditions DoYouArt réalisées pour cet artiste, dans le cadre de son exposition au sein de la Galerie Hamon au Havre, sur notre support béton.

En effet, nous avons réalisé, suite à la demande de l’artiste, 9 prints sur béton en édition de 5 exemplaires.

Bien sûr « Gouzou », son petit personnage mythique, est présent sur toutes ses éditions !

Nous adressons donc un GRAND MERCI à cet artiste pour nous avoir fait confiance dans la réalisation de ses éditions.

Vous pouvez retrouver d’autres créations de Jace sur son compte Facebook :  https://www.facebook.com/JACE-81319567629/?fref=ts

L’équipe DoYouArt,

 

Ella & Pitr pour l’Euro 2016 : un géant investit le stade stéphanois

Notre duo stéphanois Ella & Pitr élargit ses horizons et investit l’Euro 2016 en réalisant une œuvre des plus imposantes sur le mythique stade Geoffroy Guichard de Saint-Étienne.

Ces street-artistes ont toujours un train d’avance ! un tel exploit n’avait encore jamais été réalisé !

Ce géant a donc prit place et s’est assoupi sur la pelouse du stade après que la ville est clôturée sa participation lors de l’euro 2016.

Le Street-Art à Saint-Étienne est un élément porteur de valeurs et de cultures ! La ville ne cesse d’encourager ce mouvement artistique. Ella & Pitr ont donc réalisé une femme allongée telle dans un pré, du nom de « Brigitte-Angélique Des Braises De La Marmite ». Son visage est caché par des ailes d’oiseau et elle dort paisiblement sur la pelouse.

C’est une façon artistique pour la ville de rendre hommage à la qualité de la pelouse du stade lors de cette compétition. La pelouse a obtenu un 15/20 par l’UEFA.


 

DoYouArt immortalise ce géant du Street Art :

DoYouArt a eu sa part de travail dans cette réalisation. Les artistes nous ont donc demandé de réaliser, en express, des tirages pour immortaliser cette œuvre des plus impressionnantes. Nous sommes fiers de pouvoir travailler en collaboration avec des artistes stéphanois qui ne cessent de propager cet art qu’est le street-art dans des lieux exceptionnels.

Il est important pour nous de faire perdurer ces œuvres éphémères des plus originales et de continuer à marquer les esprits par nos impressions !

 

Notre côté chauvin nous joue des tours mais nous sommes fiers qu’un tel exploit soit réalisé au sein d’un stade de foot, et surtout notre chaudron, et ce pour la première fois. Mais vous ne pourrez l’admirer que pendant un certain temps …

L’équipe DoYouArt,

« Pink Show » par Justin Person

Justin Person, cet artiste contemporain installé à Berlin est aujourd’hui sur le devant de scène pour ses créations originales et représentatives !

Cet artiste a su utiliser les personnages iconiques de la génération des trentenaires en leur insufflant un esprit novateur.  L’originalité est donc au rendez-vous au sein de son travail.  

Popeye / les Simpsons / Futurama / Oncle Picsou etc… , tous ses personnages ont pris vie à travers son travail, par un style innovant et en les faisant apparaître par des aplats de couleurs noires.

Appelé également les Toons sans visage, Justin Person perçoit la personnalité de ces personnages sans laisser apparaître la moindre expression de visage. C’est pour nous l’un des points les plus captivant de son travail.

C’est avec brillot que l’artiste captive l’attention du spectateur en faisant appel à sa culture et à ce qu’il connaît du personnage.

L’expression du visage n’est plus nécessaire ! le corps du personnage en lui-même suffit !

Exerçant son talent dans la ville de Berlin, vous pouvez retrouver son travail sous tous les angles et sur une multitude de supports.

Mais DoYouArt a donc décidé de partager son savoir-faire au côté de Justin Person. Il nous a fait confiance pour éditer une œuvre en 15 exemplaires sur notre support béton. Ces tirages seront présentés lors de son exposition “Pink Show” dans la ville de Berlin dans la galerie “Art Urban Spree Galerie”, du 7 au 17 juillet 2016.

Ainsi, le béton met en valeur les lignes directrices de ces personnages en rappelant l’univers de prédilection de l’artiste : la rue.

Vous pouvez découvrir son travail sur : http://justinperson.tumblr.com mais aussi sur ses réseaux sociaux Facebook https://www.facebook.com/justinpersonartstudio et instagram : https://www.instagram.com/justin_person/

L’équipe DoYouArt

iDroom pour l’Hôtel Winsdsor à Genève : une mise en avant du Street Art inédite !


iDroom qu’est ce que c’est ?

 

iDroom est une galerie spécialisée dans l’art contemporain urbain.

Située à l’intérieur de l’Hôtel Windsor, cette galerie met avant différents artistes dans le cadre de nombreux projets, tous plus originaux que les autres.

Mêlant passion, créativité et partage, cette galerie souhaite participer au développement de l’art urbain au sein de différentes villes en recherchant ce grain de folie dans l’organisation de leurs événements.

Ainsi iDroom s’est avant tout : une galerie présentant les œuvres de street artistes, mais aussi un incubateur de talent par le biais d’événements notamment au sein de l’Hôtel Windsor à Genève.


iDroom et l’Hôtel Windsor

 

Depuis septembre 2015, iDoom a mis en place en partenariat avec l’Hôtel Windsor, des prestations exceptionnelles de street artistes au sein de l’Hôtel même.

En effet, l’Hôtel a souhaité tirer son épingle du jeu en choisissant de décorer ses chambres d’Hôtel avec la réalisation d’œuvres de street artistes inédites.

Ces éditions sont donc seulement réservées à l’Hôtel et son organisées dans le cadre d’événements street art par iDroom.

Chaque œuvre réalisée dans une chambre de l’hôtel fait l’objet d’un événement incontournable de la scène du street art dans la ville de Genève.

Vous pouvez retrouvez différentes chambres réalisées par de grands street artistes sur : http://www.idroom.ch/idiscover/


3 chambres / 3 univers

 

Suite à l’organisation du Watermark, un festival d’art urbain aux bains des Pâquis organisé par iDroom, la galerie d’art urbain a donc décidé de faire perdurer l’événement en présentant 3 nouvelles chambres au sein de l’Hôtel Windsor.

Ce festival d’art urbain invitait de nombreux artistes à venir exprimer leurs talents en réalisant des fresques street-art sur les murs  des bains des Pâquis.

Vous pouviez retrouver les prestations des artistes comme :

JAZI (De Genève) / BANDI (De Genève) / ARDPG (De Paris) / MAYE (De Montpellier) / RESO (De Toulouse) / MONDE (De Toulouse)

En parallèle de ce festival,  Reso, MAYE et Mondé ont donc réalisé 3 fresques murales pour 3 intérieurs de chambres de l’Hôtel Windsor. Un événement inédit car jusqu’à présent, ces prestations n’étaient réalisées que pour une chambre à la fois.

Ces trois artistes, aux styles différents, se sont donc prêter au jeu en exerçant leurs talents de street artistes à l’intérieur de ces chambres d’hôtel.

Vous pourrez admirer ces prestations ce mercredi 29 juin lors du vernissage organisé pour la présentation de ces chambres.

Vous pouvez également jeter un coup d’œil à leurs pages Facebook :

iDroom : https://www.facebook.com/iDroom-1018842274810254/?fref=ts

Art Hotel windsor : https://www.facebook.com/iDroom-1018842274810254/?fref=ts

L’équipe DoYouArt

Thierry Noir : un artiste Lyonnais haut en couleur !

Thierry Noir, cet artiste Lyonnais connu pour avoir été l’un des premiers street artistes à avoir œuvré sur le mur de Berlin est aujourd’hui une icône de ce mouvement artistique !


 Sa particularité : les couleurs !

Vous devez tous avoir aperçu un jour ces bonshommes de profils, aux bouches démesurées, aux corps déformés, délimités par des traits noirs pour rappeler un aspect de bande dessinée. Si ce n’est pas le cas et parce que les images parlent d’elles-même voici quelques clichés de son travail :

 

Les œuvres de Thierry Noir sont aujourd’hui reconnues comme un symbole Berlinois des plus excentriques. On retrouve son travail sous de multiples formes.

Mais la particularité de ses œuvres est que Noir ne se cantonne pas à des dimensions précises. Thierry Noir suit les lignes directrices du mur sur lequel il peint. Il est l’un des premiers artistes à avoir choisi de respecter l’environnement qui lui est donné pour exprimer son talent et sa pensée.

Vous pouvez retrouver son travail dans les rues de Berlin, mais c’est à East Side Gallery que vous pourrez admirer son travail en toute liberté de façon permanente !

Thierry Noir représente l’image d’une métropole artistique et underground Berlinoise qui ne cesse de se répandre. Berlin est aujourd’hui reconnu comme étant l’une des plus grandes villes accueillant le street art et favorisant son extension.

(Retrouvez plus d’informations sur le street art à Berlin dans notre article : https://doyouartedition.wordpress.com/2016/06/14/le-tour-du-monde-de-lart-urbain-la-ville-de-berlin-2/ )


Un artiste influencé par l’histoire de la ville :

Noir a commencé à exprimer son talent durant les années où la ville de Berlin était divisée (Berlin Est – Berlin Ouest). Cet art lui permettait de laisser place à la création et à son imagination dans une ville divisée par la guerre.

Aujourd’hui Thierry Noir continue d’exercer son talent en accord avec son temps. Il a maintenant donné vie à ces personnages haut en couleur en les faisant faire de la musique par exemple, en les inscrivant dans un mouvement de liberté. Ces personnages démontrent une ville de Berlin libre et épanouis depuis plus de 20 ans suite à la réunification.

Ainsi, Noir est un street artiste porte-parole de la ville de Berlin. Nous pouvons dire que cet artiste a fortement contribué à la liberté de cette ville mais aussi à son épanouissement au fur et à mesure des années.

 

L’équipe DoYouArt

Le béton en connexion avec l’art Urbain

Adobe Photoshop PDF

Le béton, ce matériau emprunté à la rue, est l’un de nos matériaux majeurs que nous souhaitons vous présenter aujourd’hui.

DoYouArt, du fait de son expertise dans le domaine de l’impression fine-art en ligne, figure parmi les précurseurs de ce nouveau procédé qui consiste à éditer des oeuvres d’art sur un support en béton.

À ce titre, nous procurons à nos clients et artistes l’opportunité d’acquérir en exclusivité un fragment de la rue pour leur intérieur, tout en respectant les oeuvres de nos artistes, en leur offrant un cadre respectueux du contexte de création.

Dans le showroom DoYouArt, nous avons souhaité mettre l’accent sur le support béton, que Valentin Pacoret (fondateur de DoYouArt) a lui-même mis en place avec l’aide d’une entreprise spécialisée dans ce matériau.

Le béton permet de créer une réelle relation entre le Street Artiste et l’impression de son oeuvre. C’est un matériau authentique, emprunté directement au paysage urbain et indéniablement novateur. La toile béton présente des caractéristiques identiques à ses homologues traditionnels, l’originalité en plus.

Chez DoYouArt nous mettons un point d’honneur à retranscrire fidèlement le cadre contextuel des créations des Street Artistes et du message qu’elles véhiculent.

Un seul objectif : Ramener la rue chez soi !

Ainsi, nous vous invitons à venir découvrir ce matériau au sein de notre showroom ou bien sur notre plateforme : http://www.doyouart.com/supports

L’équipe DoYouArt

La photographie, les 10 choses à savoir sur cet art majeur !

La photographie a pris place au sein de la société depuis de nombreuses années. Du métier de photographe, en passant par les selfies, aujourd’hui la photographie est présente de partout, dans le monte entier, à tout moment et de différentes façons.

Alors que la société dégaine plus vite que son ombre ses appareils photo ou ses téléphones  pour immortaliser un moment, il faut reconnaître que l’histoire de la photographie ne date pas d’hier … Avec la montée en puissance des smartphones et des appareils photo derniers cries, on a tendance à oublier son évolution. C’est pourquoi DoYouArt vous fait ce petit rappel !

 

1 – La photographie date de l’antiquité : on parlait de caméra obscura. Principe basé sur la captation des rayons du soleil pour produire une image inversée.

2 – C’est en 1826 que Nicéphore Niepce (1765-1833) réalise la première photographie de notre histoire. Un véritable génie ! Une pose de 8h a été nécessaire pour voir apparaître le cliché … La patience fut de rigueur !

3 – En 1829, on passe de 8H de pose à 20min par l’association de Niepce avec Louis-Jacques Daguerre (1787-1851). De cette association naquit l’invention du Daguerréotype qui permetta d’obtenir des images de qualité.

4 – En 1855, le temps de pose ne sera plus que de 10 secondes grâce à l’évolution des technologies.

5 – En 1849, Henri Fox-Talbot inventait  le Calotype mais aussi le procédé négatif. Sa recette miracle : il faut huiler le papier pour le rendre transparent et ainsi en tirer un positif.

Grâce à cette évolution, les images peuvent dorénavant être reproduites.

6 – En 1899, George Eastman (fondateur de Kodak) produit la première pellicule souple en ruban. la démocratisation de la photographie est en marche. Par la suite, différents appareils photo seront inventés et commercialisés comme : le réflex, le Leica, le moyen-format, le Rolleiflex, l’Instamatic, le Polaroïd, l’appareil jetable etc.

7 – En 1985 apparaissait le tout premier appareil photo numérique sans film ! la naissance du mot selfie n’est pas loin derrière … (en 2016 le mot selfie a été intégré au dictionnaire Larousse)

8 – L’histoire c’est bien beau, mais aujourd’hui ce qui caractérise la photographie, c’est les univers et l’expression qu’elle permet de créer et de divulguer. La photographie est un art d’une telle souplesse, permettant la libre expression. Aujourd’hui, on retrouve une infinité de genres.

9 – Chez DoYouArt, la photographie est à l’honneur et peut s’exprimer de manière originale et conceptuelle grâce à nos différents supports. Nous souhaitons apporter de l’attention à chaque photo afin de révéler le message caché chez chacune d’entre elles.

10 – La photographie révélatrice de l’art urbain. Grâce à la photographie, l’art urbain a pu se développer au sein des galeries d’art. La photographie urbaine a tendance à se répandre de plus en plus, notamment avec la conjoncture actuelle où les artistes ont besoin de s’exprimer et de montrer une autre vision de notre monde. La photographie révèle ce que nous ne voyons pas au premier abord. Elle s’intéresse à différentes beautés. Car la beauté est universelle et sans concepts !

Si vous souhaitez retrouver plus d’informations sur l’art urbain et la photographie, rendez-vous sur notre précédent article : https://doyouartedition.wordpress.com/2016/05/12/lart-urbain-un-art-en-correlation-avec-levolution-des-tendances/

L’équipe DoYouArt,

 

Le tour du monde de l’art urbain : La ville de Berlin

On commence cette semaine avec notre tour du monde de l’art urbain avec un incontournable : Berlin !

Désignée comme la ville du design par l’UNESCOBerlin est avant tout le berceau du street art sous une multitude de formes : collages, stencils, grafs, tags, détournements publicitaires etc.

On le retrouve dans les quartiers branchés tels que Friedrichshain et Kreuzberg. Les deux quartiers entourant la Spree

Quand on évoque le street art à Berlin, les premières oeuvres auxquelles on pense sont celles de East side Gallery ou autrement dit : le Mur de Berlin (à Potsdamer Platz, Mühlenstrasse et Bernauer Strasse).

Reconnue comme la plus longue galerie à ciel ouvert du monde avec 1.316 mètres d’expression urbaine, vous pourrez admirer le travail de différents streets artistes qui ont souhaité communiquer sur différentes thématiques après la réunification : l’euphorie sur la paix gagnée, la liberté, l’après-persécution, l’espionnage et le manque de liberté, l’espoir pour une société meilleure, plus humaine, des histoires personnelles, leurs espoirs et leurs rêves.

Ces streets artistes se sont positionnés en tant que porte-parole sur cette galerie à ciel ouvert.

Mais cette effervescence des arts urbains à Berlin est présente dans les moindres recoins.  

Peu importe où vous vous trouvez, vous serez sûr de tomber sur une oeuvre street art dans la ville. On peut parler d’une véritable scène du street art, un art omniprésent dans cette ville Européenne.


Un Street artiste reconnu au sein des rues Berlinoises : El Bocho 

Cet artiste jouant avec l’humour noir et la poésie met en scène différents personnages, par la technique du paste-up.

Un des personnages phares de El Bocho est Little Lucy, une petite fille qui a une obsession suprême envers son chat : le tuer par tous les moyens possibles. 

Cet artiste suit une ligne directrice dans ses réalisations, sous forme de feuilletons, et demeure un artiste incontournable de la ville.


Le street art à Berlin : l’âme de la ville

Aujourd’hui la ville a également mis en place différentes visites guidées à pied pour se familiariser avec le street art, alimentées par de nombreuses histoires et anecdotes.

Mais pour ceux qui souhaitent se débrouiller par eux-mêmes et partir dans une géante chasse au trésor, nous vous conseillons les quartiers Kreuzberg et Friedrichshain, les quartiers phares du street art à Berlin.

Vous avez maintenant toutes les clés en main pour partir à la découverte du Street Art à Berlin. N’hésitez pas à partager votre expérience avec nous en commentaire. 

L’équipe DoYouArt.

Alexandre Vanhoorde et DoYouArt

Alexandre Vanhoorde présent à L’Open Sopra Steria de Lyon :

En cette première semaine de juin, l’équipe DoYouArt souhaite vous présenter sa nouvelle collaboration avec l’artiste photographe : Alexandre Vanhoorde.

Dans le cadre de l’Open Sopra steria de Lyon (l’Open de tennis), nous avons réalisé les impressions de la série de photographies de Alexandre Vanhoorde, présent au sein de cet événement pour l’exposition : « lost tennis camp »

En tant que partenaire, nous avons accompagné l’artiste de l’organisation à l’installation de son exposition.

Cette collaboration rentre dans une réelle volonté d’adaptation que souhaite réaliser DoYouArt auprès des artistes et des professionnels. Nous voulons sortir des sentiers battus, découvrir et vous faire découvrir de nouveaux horizons, en accompagnant des artistes aux multiples facettes.

Cette exposition ciblée sur la thématique du tennis apporte une réelle plus-value culturelle à l’Open Sopra Steria de Lyon. Ainsi, les passionnés de tennis sont amenés à découvrir ce sport sous une autre forme, par la photographie et plus précisément par la macrophotographie.


DoYouArt et les professionnels :

Doyouart s’adapte à ses clients avec une exposition ciblée sur une thématique précise afin de répondre au mieux aux attentes des clients et du public de l’open de tennis de Lyon.

Nous souhaitons nous rapprocher des professionnels afin de les accompagner et de leur proposer nos services pour la décoration de leurs lieux de travail ou pour leurs événements.

Nous mettons tout en place pour élargir nos horizons et accompagner nos clients dans la direction qu’ils souhaitent emprunter pour leurs événements ou leurs intérieurs en respectant les thématiques choisies.


Un nouvel artiste DoYouArt parmi nous :

Ainsi, par cette nouvelle collaboration, nous avons le plaisir de vous annoncer que Alexandre Vanhoorde rejoint notre liste d’artistes présents sur notre plateforme.

Nous avons été séduit par cette mise en lumière, que fait cet artiste, du tennis. L’ambiance retranscrite au sein de ses photos est extraordinaire. La simplicité de ses photographies nous amène à apprécier ce sport autrement. Grâce à la macrophotographie, Alexandre Vanhoorde a pu représenter l’atmosphère de ces terrains de tennis abandonnés d’Italie. Une passion pour le jeu et pour la photo réunie au sein d’une série de ­clichés de qualité.

Vous pourrez également le retrouver au sein de notre showroom DoYouArt après l’Open Sopra Steria de Lyon. Nous vous invitons à venir découvrir son travail.

https://www.facebook.com/alexandre.vanhoorde.photographe/?fref=ts

L’équipe DoYouArt